Roleplay a continuer

Bonsoir, chers amis!
Je vous propose de faire une petite Histoire en roleplay, histoire de voir un peu votre...imagination?!
Prenez donc la continuité du texte précédent, quelques règles élémentaires:
-Respectez l'histoire précédente
-Évitez les fautes de syntaxe, de conjugaison, d'orthographe, et le langage sms
-Évitez le trucs du genre: Dededrago bouffe Ori qui bouffe Lisie qui bouffe Rhae qui bouffe Spade qui bouffe Dededrago...Des trucs euh...probables?
-Et si vous pouviez éviter de critiquer les murlocs se serai parfait
-Possibilité de changer de focalisation, parlez a la première personne ou a la troisième, vous voyez!
-respectez le caractère des personnages mis en action
-Si vous parlez a la première personne: C'est vous! Par exemple, Spade n'est pas Orichalque! Si Spade emploi le « je » dans sa narration, c'est Spade >_<
-Terminez votre texte sur une touche de suspense, et par « ... »


Je commence, à vous de suivre!

Par une nuit sombre d'hivers, j'entrai dans la taverne des pendus, assoiffé. Revenant d'un long voyage au sein des serres rocheuses, ma langue collait a mes dents, tel une écaille de murloc sur une pierre au soleil...
« Tavernier! Un ssssang de gnome, bien frai!
-Avec un œil l'ami?
-Non...deux! Il vint vers moi, la rotule branlante...
-Cinq pièces de cuivre, Orichalque...
-La crise vient donc jusqu'aux clairieres de Tirisfal...Tsss lamentable...Merci Joey. »
Je lui donnai les pièces, avalai mon verre d'une traite et sorti.
Dans l'écurie en face de la taverne, Arianhod hennis vivement, se cabra et frappa violemment la porte de bois le retenant de ses deux pattes avant. Elle se brisa, il sortis.
« j'ai compris...Tu veux te promener...Le gardien des écurie hurla:
-Oh! Les réparations Orichalque! A chaque fois que tu viens à Brill tu me casses une porte! Donne-moi quarante pièces d'argent que je répare ça. Stupide animal!
-Si tu savais...A Shattrah ils m'ont fais payer deux cent cinquante pièces d'argent! Vous m'irritez sérieusement, êtres cupides. C'est sûr: tu étais un haut-elfe avant ta mort, Tom. »

La pleine lune était déjà haute, les Sombredogues aux alentours hurlaient, je savais que c'était dangereux, et pourtant, j'allai tout de même vers la profonde foret. Une fumée dense s'éleva vers le ciel. Elle venait de plus loin, sur les rives du lac étincelant. Inquiété par cette événement inhabituel, j'attachai Arianhod a un arbre, je fondai dans l'obscurité, et me glissai doucement vers la source de ce nuage. Il y avait un grand feu, un brasero ardent, je rampai le plus discrètement possible, a quelque dizaines de mètres, je vis des gens encapuchonnés, dans de longues robes... Faisant un rituel en l'honneur de je-ne-sais-quel dieu. Je m'approchai, je sortis une dague, prêt à éventrer ces quelques gêneurs: mais un bruit de métal se fit entendre...J'étais repéré. L'humanoïde le plus prêt de moi se retournai vivement...
-HAAAA !!

...

(voilà a vous de continuer Si d'ici trois jours il n'y a rien de plus, je continuerais )

Deux jours, deux jours que personne n'avait de nouvelle d'Orichalque.
Tom était venu se plaindre pour une porte cassé.
On a essaye de le contacter grace au perroquet de Woodruff mais il est revenu sans avoir transmis son mot.
Tom disait savoir ce qui c'était passé, il nous proposa un prix contre ce qu'il savait... Foutu rapiat, il ne pouvait pas le dire plutot?

«5 pièce d'or pour des renseignement... la vie d'un mort ne vaut pas autant que ça.»

Le conseil des 4 As se réuni pour la première fois depuis la crise des rats d'Hurlevent. Bien qu'il manquait l'hameçon ambulant, la réunion fut breve.
Orichalque était porté disparu, il fallait le retrouver.
On decida d'envoyer quelque membre de l'equipage a sa recherche.

...

(la flemme de faire plus.)

Allez on a qu'a faire chacun son tour à la suite (sauf si c'est pas top ou que ça casse le rythme)
Perso j'aime pas beaucoup parler à la première personne:

Reclus depuis maintenant une semaine dans les donjons d'Hurlevent Woodruff n'en pouvait plus : on ne souciait guère de son hygiène et on le laissait dans cette antichambre de l'enfer si lugubre. Il en avait clairement marre, ce repos avait été bien mérité mais à présent il était temps de s'en aller :
Coco était revenu de sa mission et lui apprit qu'Orichalque était porté disparu...ce qui le dérangeait quelque peu : il lui avait promis d'assister à ses secondes funérailles et il lui devait toujours de l'argent. Il se releva et prit une bouffée d'air.

"Geolier tu as intérêt à ouvrir si tu tiens à ta porte !"
Ceci fit bien évidemment rire l'humain, incapable de soupconner quoique ce soit d'un être si fragile d'apparence sans compter le fait qu'il était enchainé.
"Trés bien tu l'aura voulu"
Woodruff se concentra et intérieurement faisant appel à la Lumière infusée en lui de M'uru.
Une grande déflagration de Lumière explosa la porte et il en sortit d'un air méprisant envers le geolier gisant inconcsient à terre.
"On ne peut retenir mon envie de pêcher !"

Aprés un tour rapide vers les objets confisqués pour récupérer son équipement, il s'enfuit rapidement en direction de Brill ; dernier lieu où on avait vu Orichalque en vie-si l'on puit dire.
Aprés une rapide analyse du terrain il trouva des traces de pas suspectes à côté des marques de sabots d'Arianhod (le ferrailleur ne savait décidément pas fabriquer de fers adaptés à chaque cheval).

Les suivant vers l'est il arriva rapidement à un campement déja éteint...des hommes de la croisade écarlate avait séjourné ici récemment, il le savait car à côté de quelques traces de luttes on pouvait distinguer une croix de bois où était écrit "Mort en se battant contre la mort elle même"
"Orichalque qu'a tu encore fait ? Ta curiosité te perdra un jour..."

Levant la tête pour dire ça il vit une étoile ninja planté dans un arbre, le même modèle qu'appréciait lancer Orichalque.
En le récupérant il pouvait lire dessus, marqué avec des traces de griffures : Vers le monastère
"Dans quoi t'es tu encore plongé sombre idiot ?"

Et il ordonna à Vahaana de faire route...

-Plus vite Arianhod!
Taché de sang je galopais vers le monastère écarlate.

Âpres avoir tué ces quelques malfrats indiscrets, j'avais fouillé leurs poches à la recherche de quelques pièces, seulement je n'avais trouvé qu'une missive, tamponnée d'un sceau rouge vermillon. C'était un courrier anonyme, adressé a la Grande inquisitrice Blanchetête, lui faisant par de ses découvertes en matière de réanimation morbides. La lettre se terminait par « bravo pour le champion mort ». Ainsi donc une effroyable créature avait dût être crée. Je me rendis alors en direction du monastère écarlate, prêt a tuer ce monstre.
Sauf que, ce monstre n'était pas mon problème, durant cette sanglante bataille sur les rives du lac étincelant, huit pièces de cuivre étaient tombées de ma poche. Et je ne les ai point retrouvé. L'argent a de l'odeur, surtout s'il est a moi: j'ai donc suivis cette mince piste, allant vers le monastère, en ayant pris soin de laisser une étoile rouge planté dans un arbre, indiquant ma direction, en cas de problèmes.

J'avançai rapidement, slalomant entre les arbres. Après deux longues heures au galop, Arianhod s'arrêta épuisé.
-Excuse moi vieux tas d'os, reposons-nous. Si je ne récupère pas ces pièces je forcerais Tom à laver tes sabots, jusqu'à se qu'il me rende mon argent.
Nous nous arrêtâmes donc, j'en profitai pour laver mes masses, incrustées de sang, et cuisiner les quelques bras que je n'ai pas pu finir. Seulement, quelques heures plus tard, une odeur se fit sentir dans la forêt: un odeur familière.

...

Un oiseau venait de se poser sur le navire, il lacha sur le pont un petit objet. J'allais le tuer pour avoir salit le bateau lorsque je reconnu Coco.
Je pris l'objet et compris pourquoi Wood l'avait envoyé. Un indice sur Orichalque. Un papier etait avec:

"J'ai retrouvé la trace d'Orichalque.
Je suis partit le chercher."

En regardant de plus pres je reconnu une des etoiles d'Ori et vue la note dessus.

"DEBOUT LES GARS REVEILLEZ-VOUS IL VA FALLOIR EN METTRE UN COUP DEBOUT LES GARS REVEILLEZ-VOUS ON DECOLLE POUR LE MONASTERE!!!"

Lisie, Dede, Miniali, Rikisa et Rhae coururent sur le pont, chacun savait ce qu'il avait a faire.
Le Bloody Sail prit le large a la recherche de Woodruff et Orichalque.
"Saigneur D'Yeux pourvus qu'Ori ne soit pas mort sans que je puisse voir ca."

...

Coco revenait de loin, il voyageait bougrement vite ce piaf. Il avait sur lui la réponse de Spade :
"Sommes à la forêt des Pins Argentés Arrivons au plus vite mais équipage saoul"
Comme à leur habitude l'équipage du Bloody Sail devait avoir forcer sur le rhum de Cabestan, les renforts ne seraient pas la avant un bon moment, tout au plus quelques heures. Woodruff ne parvenaient pourtant pas à être rassuré.
"Tout ça n'est normal...."
Inquiet il décida quand même de farfouiller à droite à gauche... quand un détail le troubla : il retrouva un doigt de Mort-vivant ! plus précisément celui d'Orichalque..
"Un annulaire gauche..bah il le perd souvent, ce n'est pas concluant"

Le mettant dans son [sac gigantesque] Woodruff réfléchit, habituellement il n'y aurait pas lieu de s'inquièter qu'un Réprouvé soit en puzzle mais avec les évenements récents mieux valaient se préparer à tout.
Woodruff fît route jusqu'au monastère écarlate sans encombre.

Arrivé aux portes il retira rapidement la vie à un soldat à moitié endormi pour récupérer son tabard écarlate. Mieux valait ne pas prendre de risques...
Il continua en se faisant passer pour une nouvele recrue venant se former. Tout se pssait bien, presque trop d'ailleurs...

Une rapide inspection autour du monastère ne donna rien...il fallait donc rentrer à l'intérieur.
En arrivant aux portes une tension énorme s'empara de lui en voyant deux cadavres à terre à moitié éventrés...on dirait qu'ils venaient d'être dévorés ?

Une ombre se faufila derrière lui et une dague se mit sur sa gorge...A l'odeur pourtant il crut reconnaitre quelqun :
"Orichalque c'est toi ?"
Un mouvement brusque de la chose derriere lui le mit à terre...

( Alors c'est Ori ou pas au final ? ^^)

(mais bien sur)

Je me reveillai apres une longue sieste. Il faisait toujours nuit seulement l'horizon s'éclaircissait peu à peu. Je m'approchai du monastère, de nombreux soldats de la croisade écarlate étaient étendus par terre. L'un d'eux était nu, ou alors en caleçon.
"Un homme nu...? Woodruff est passé alors. "
Il avait sans doute emprunté les vêtements d'un des soldats tué afin de s'infiltrer dans le monastère.
"Mmmh, je vais faire de même!"
Je sortis un sac de cuir, découpai un morceau de chair sur l'un des cadavres, et le mis dans mon sac, prévoyant d'avance le petit déjeuner. Puis je retirai l'immonde tabard rouge d'un des soldats, et le mis par dessus mon tabard actuel: un horrible arbre marron sur un fond bleu ciel. La différence était flagrante, par dessus mon armure tachée de sang, mon casque en forme de crâne, je ne ressemblais pas du tout a un soldat de la croisade écarlate. Mais bon, cela suffirait peut être à rentrer dans le Hall.
Je montai lentement l'escalier, suivant les cadavres jonchant sur le sol, et j'arrivai dans le hall d'entrée. C'était une pièce en forme de croix sainte, les murs de pierres étaient vivement éclairés par des chandelles flamboyantes accrochées dessus. Le contraste entre la sombre foret de Tirisfal et la lumière "sacrée" du monastère était trop violent pour mes vieux yeux, si bien que j'en étais quelque peu...ébloui.
Au bout de la pièce, je pus distinguer deux hommes, vêtus de rouge. Ils étaient debout, l'un derrière l'autre. Mes yeux se firent finalement a la lumière, et je vis enfin que l'un d'eux était prêt a trancher la gorge de l'autre.
"Orichalque c'est toi?"
L'homme au couteau se baissa rapidement, et entailla la cheville de Woodruff, qui tomba violemment sur le sol.
"Merde! mon tendon!"

Le soldat de la croisade écarlate se retourna brusquement, me regarda dans les yeux et dit:
"c'est toi qui a ravagé mon unité! Tu doit périr sous ma lame!"
Je rétorquai:
-Pour les huit pièces de cuivre que tu m'a volé...Tu connaitras la souffrance éternelle! Être Cupide!!!
Il s'élança rapidement vers moi, je sortis Ouvre-faille le plus rapidement possible malheureusement, il me désarma à l'instant même ou je le tenais fermement. Je fis un saut en arrière et jetai une étoile en direction de sa jambe gauche. Il la dévia facilement, si bien qu'elle ricocha à trente centimètre de la tête de Woodruff, qui tentait tant bien que mal de se redresser.
Finalement je pus enfin sortir mes deux masses, brillantes de propreté, et attaquer le soldat écarlate.
Voyant que je me battais avec deux armes, il sortit un petit couteau d'une vingtaine de centimètre qu'il prit de la main gauche.

Tout d'abord je me moquai de lui, puis je bondis en sa direction. Ma masse droite tomba tomba lourdement sur lui, il para en croisant ses deux cure-dents, et avec ma masse gauche je lui assenai un coup circulaire, qu'il reçu en plein dans son coté gauche. Il fût éjecté dans un atroce bruit d'os brisé sur le mur de droite. En gémissant de douleur, il se releva, me regarda, et jeta une vingtaine de pièces sur le sol. Je m'approchai alors, vers lui, me baissai, ramassai doucement les pièces, je les mis dans ma bourse, et je m'avançai encore vers lui. Il recula, terrorisé et se plaqua contre le mur désormais taché de sang. Voyant Woodruff assit contre le mur du fond, sa jambe saignant abondamment, je donnai un coup de pied au niveau des genoux du soldat, qui chût sur le sol. Il hurla de douleur, sans doute a cause de cotes cassées. Je le regardai se débattre a mes pieds, puis enfin, je levai mes deux masses au dessus de son crâne, et les abatis violemment. Sa cervelle jailli, contre le mur, que je m'empressai de gratter avec Ouvre-faille, afin de mélanger ce délicieux dessert avec la tranche découpée toute à l'heure.

Je rengainai mes masses.
-Tout ce travail à refaire, je devrais lui faire payer la flotte à ce nabot! ça va Woodruff?
-Bien sûr, mais je ne peux pas me lever. j'ai contacté le reste de l'équipage, Ils devraient arriver sous peu...
-Ok, mais j'ai récupéré mes pièces, j'ai plus rien à faire ici. Si je les croise je leur dirais de te soigner. T'as faim? J'ai un menu Big smach là...
-Mouai, allume un feu que je cuisine ça...

(ça fait du bien d'écrire un peu d'action *-* )

( Enflure va tout ça pour me voir saigner... c'est capillotracté ton histoire de "oh tu mas vu plutot que trancher sa gorge je vais trancher sa cheville...roh !
Allez je reprends ton histoire et j'arrange un peu mieux : Dédé, et le reste de l'equipage ont rien foutu et on sait pas ce que devient l'abomination cree je sais plus ou ^^
Tu crees une fin trop rapide ca va pas)

Je me reveillai apres une longue sieste. Il faisait toujours nuit seulement l'horizon s'éclaircissait peu à peu. Je m'approchai du monastère, de nombreux soldats de la croisade écarlate étaient étendus par terre. L'un d'eux était nu, ou alors en caleçon.
"Un homme nu...? quelqun est sans doute passé par ici avec la meme idée que moi alors. "
Il avait sans doute emprunté les vêtements d'un des soldats tué afin de s'infiltrer dans le monastère.
"Mmmh, je vais faire de même!"
Je sortis un sac de cuir, découpai un morceau de chair sur l'un des cadavres, et le mis dans mon sac, prévoyant d'avance le petit déjeuner. Puis je retirai l'immonde tabard rouge d'un des soldats, et le mis par dessus mon tabard actuel: un horrible arbre marron sur un fond bleu ciel. La différence était flagrante, par dessus mon armure tachée de sang, mon casque en forme de crâne, je ne ressemblais pas du tout a un soldat de la croisade écarlate. Mais bon, cela suffirait peut être à rentrer dans le Hall.
Je montai lentement l'escalier, suivant les cadavres jonchant sur le sol, et j'arrivai dans le hall d'entrée. C'était une pièce en forme de croix sainte, les murs de pierres étaient vivement éclairés par des chandelles flamboyantes accrochées dessus. Le contraste entre la sombre foret de Tirisfal et la lumière "sacrée" du monastère était trop violent pour mes vieux yeux, si bien que j'en étais quelque peu...ébloui.
Au bout de la pièce, je pus distinguer deux hommes, vêtus de rouge. Ils étaient debout, l'un derrière l'autre. Mes yeux se firent finalement a la lumière, et je vis enfin que l'un d'eux était prêt a trancher la gorge de l'autre.
"Orichalque c'est toi?"
L'homme avait cru que cette remarque m'était destiné et en se retournant il vit que je lui lançais une étoile...
L'homme au couteau se baissa rapidement, et entailla la cheville de Woodruff, qui tomba violemment sur le sol.
"Merde! mon tendon!Enflure !"

Le soldat de la croisade écarlate se retourna brusquement, me regarda dans les yeux et dit:
"c'est toi qui a ravagé mon unité! Tu doit périr sous ma lame!"
Je rétorquai:
-Pour les huit pièces de cuivre que tu m'a volé...Tu connaitras la souffrance éternelle! Être Cupide!!!
Il s'élança rapidement vers moi, je sortis Ouvre-faille le plus rapidement possible malheureusement, il me désarma à l'instant même ou je le tenais fermement. Je fis un saut en arrière et jetai une étoile en direction de sa jambe gauche. Il la dévia facilement, si bien qu'elle ricocha à trente centimètre de la tête de Woodruff, qui tentait tant bien que mal de se redresser.
Finalement je pus enfin sortir mes deux masses, brillantes de propreté, et attaquer le soldat écarlate.
Voyant que je me battais avec deux armes, il sortit un petit couteau d'une vingtaine de centimètre qu'il prit de la main gauche.

Tout d'abord je me moquai de lui, puis je bondis en sa direction. Ma masse droite tomba tomba lourdement sur lui, il para en croisant ses deux cure-dents, et avec ma masse gauche je lui assenai un coup circulaire, qu'il reçu en plein dans son coté gauche. Il fût éjecté dans un atroce bruit d'os brisé sur le mur de droite. En gémissant de douleur, il se releva, me regarda, et jeta une vingtaine de pièces sur le sol. Je m'approchai alors, vers lui, me baissai, ramassai doucement les pièces, je les mis dans ma bourse, et je m'avançai encore vers lui. Il recula, terrorisé et se plaqua contre le mur désormais taché de sang. Voyant Woodruff assit contre le mur du fond, sa jambe saignant abondamment, je donnai un coup de pied au niveau des genoux du soldat, qui chût sur le sol. Il hurla de douleur, sans doute a cause de cotes cassées. Je le regardai se débattre a mes pieds, puis enfin, je levai mes deux masses au dessus de son crâne, et les abatis violemment. Sa cervelle jailli, contre le mur, que je m'empressai de gratter avec Ouvre-faille, afin de mélanger ce délicieux dessert avec la tranche découpée toute à l'heure.

Je rengainai mes masses.
-Tout ce travail à refaire, je devrais lui faire payer la flotte à ce nabot! ça va Woodruff?
-Bien sûr, mais je ne peux pas me lever encore fais moi un bandage en attendant s'il te plait le temps de recuperer un peu de mana pour me soigner. J'ai contacté le reste de l'équipage, Ils devraient arriver sous peu...
-Ok, mais j'ai récupéré mes pièces, j'ai plus rien à faire ici. T'as faim? J'ai un menu Big smach là...
-Mouais, allume un feu que je cuisine ça...au fait t'es pas au courant pour l'abomination Gordon ? Elle a été capturé par la croisade écarlate il faurait aller la récuperer sinon l'alliance risque de comprendre comment nous les créons.
-Arf, bon d'accord attendons le reste de l'équipage...t'es sur que tu preferes pas cru ta viande ?

(voila comme ça on peut mettre un peu plus d'action..tu remarqueras quil reste encore beaucoup de ton histoire)

Pendant ce temps sur le Bloody Sail...

"Oye Oye Oye et une bouteille de Rhum!!!
Oye Oye Oye et une cervelle de Gob!!!"

Spade et les autres n'etaient pas vraiment prets d'arriver...

Durant cette forte ivresse, Lisie allongée sur un transat cria:

-Spade ! Tais-toi donc ! Il fait beau et je veux bronzer! Ne gâche pas tout!

Quelques heures plus tard...

-SPADE ! Nous sommes enfin...Hips ! enfin arrivés ! Allonsh chercher... Hips ! Woodruff et Orichalque ! Avec un peu de chance,ils seront encore vivants...

Je n'avais jamais remarqué que... Hips ! la clairière de tirisfal ressemblait autant au boish des chants...Hips ! éternels ! Mais...Ce ne serait pas Lune d'Argent cette grande ville là-bas ?...

Nous attentions. Assis au fond du hall d'entrée Woodruff et moi jouâmes avec des osselets fraichement retirés, après moult parties, j'avais raflé une bonne vingtaines de pièces de cuivre à Woodruff, toujours assis contre le mur, la cheville enveloppée dans un bandage miteux en lin. Le temps se faisait long:
"combien d'heures allons nous encore attendre nos camarades ?"

Finalement je pris la bonne initiative de sortir les cadavres qui commençaient à refroidir dans le hall, dissuadant ainsi les quelques soldats de la croisade écarlate revenant de leurs tours de garde, et évitant à Woodruff la délicieuse odeur de chair en décomposition qui commençait a emplir l'air ambiant. D'épaisses trainées de sang étaient encore présentes, "ils vont avoir du travail de nettoyage" pensais-je.

Je tirai le dernier cadavre vers la sortie, celui-la avait une immense plaie, son armure avait été violemment tailladée de gauche a droite, sans doute Woodruff lui avait fait tâter de son Exécutrice Cœur-de-lion. Admirant la faille béante en le trainant vers l'arrière, je ne me rendis même pas compte que nous n'étions plus seuls. Le dos tourné vers la sortie, je reculais toujours. Soudain je me heurtai a quelque chose de dur, une armure de plaque. Je me tournai vivement en dégainant mes masses. Une dizaine d'archers, bandant leurs arcs, et une demi douzaine de chevaliers de la croisade écarlate, armés jusqu'au dents, étaient là.

-Woodruff...On est mal.

...